il est tard, mais ce soir tant de souvenirs m'assaillent, c'était ce vendredi , mais déja ton beau visage s'éloigne , mais c'est si bon de se souvenir
un vendredi , un 5 mai 2017 et nous voila un vendredi 2019, c'est déja si loin
5 mai 2019
Sur le sentier de la vie
Ou s'égare mes pas
j'essaie de réapprendre à sourire
J'avance le corps bien las
Pour croire que derriere moi ,reste le pire
Il me reste encore un peu de temps
Avant que de venir te rejoindre certainement
Et je vais au gré du temps
Pour voir grandir mes petits enfants
qu'il est pourtant dur de se souvenir
que déja , il y a deux ans tu as fui
Qu'il ne sert à rien de se languir
de ton absence , puisque tout est fini
Que croyais tu ? en t'envolant?
que l'on saurait faire semblant
que tu ne serais plus dans nos coeurs
et qu'on saurait retenir nos pleurs
nous cedons chaque jour au desespoir
c'est si difficile de pouvoir croire
que nous ne pourrons jamais plus te revoir
mais peut être qu'au bout y a t il encore de l'espoir
alors quand cela fait tres mal
on essaie un peu de s'echaper
il faut se forcer a garder bon moral
pour oublier , je travaille comme une forcenee
-
elle va et vient
elle va elle vient
De sa maison au cimetière
A peine quelques mètres à faire
Passent les jours
Quelque soit le temps dehors
Aller lui parler , encore
Elle fait ses allers retours
Voila un an qu'il est parti
Son beau garcon, mais elle se dit
Qu' il est quelque part toujours la
Et fait inlassablement ses 78 pas
Elle lui porte des fleurs
Et y laisse son coeur
Son depart n'a pas brisé la chaîne
Même si elle a de la peine
Sur le marbre noir, sa photo
Comme si il riait aux oiseaux
Certains jours elle l'entend crier
Appels au secours comme envoyés
Elle lui repond en murmurant
D'autres mots portés par le vent
Vers son royaume eternel
Tres loin là haut dans le ciel
Puis elle retourne chez elle
Finir ménage et vaisselle
Pour elle continue la vie
Ca on ne lui avait pas dit
Elle reviendra le voir demain
Lui raconter son quotidien
Faire semblant de sourire
Pour ne pas avoir à souffrir
l 'aigle noir
Il est descendu encore pour frapper
assainant un coup de bec mortel
il n 'a pas attendu le début de l été
pour être une fois de plus cruel
de ses ailes noires il a enleve
a toi mon amie , ma soeur
ton tendre compagnon tant aimé
te déchirant , et te brisant le coeur
les plaies ouvertes ne se referment pas
combien de fois encore faudra t il souffrir
cher yves seras tu prés de mon fils la bas
pourrons nous a nouveau sourire
ma douce , bientot nous nous reverrons
dans les bras l une de l"autre, nous pleurerons
l 'absence des nôtres tant aimés
a la recherche d'un plus belle été
l'aigle noir sournois surement reviendra
mais nous ne fléchirons surtout pas
animé d'une force inebranlable
nous lui montrerons de quoi nous sommes capable
ma grande peur
je ne sais plus te trouver
je n'entends plus ta voix
je pers ton regard
je te sens aspiré
je te cherche autour de moi
je largue hélas les amarres
plus les jours passent , plus tu t"effaces
plus je ferme les yeux , plus je me debats
plus je veux te retenir
plus tu continues de fuir
plus j'appréhande ,les jours
plus j'appelle au secours
Il faut que je m'accroche
que ma mémoire résiste
T'encrer dans ma caboche
Même si cela m'attriste
que tu sois toujours trés proche
et toujours sur ma piste
J'ai tellement besoin de croire
Que je vais me réveiller
Et qu 'un jour tard le soir
Tu viendrais nous retrouver
Juste passer nous voir
Pour venir nous embrasser
Je me couche , je te dis bonsoir
je me lève , je te dis bonjour
je mange , tu es face avec moi
je pars en ville , je te fais un signe
je parle au copines , tu occupes mon esprit
Je cours ! je cours ! et tu me poursuis
Et pourtant j 'ai peur
Peur car les images deviennent floues
Peur de ne plus entendre ton rire railleur
Peur d'oublier de te parler
Peur de te voir t'eloigner
Peur que tu deviennes un mirage
Peur tellement peur que j'en pleure
Comme un manque
Comme tu nous manques
Ca fait mal au ventre
Nous te voyons tous le temps
Tu es juste notre centre
On se demande si tu nous entends
On voudrait que tu rentres
Oh tu nous manques terriblement
La vie n'est pas si tendre
C'est si dur de faire semblant
Et j'ai souvent envie de rendre
Faudrait aller de l'avant
Car toi tu n'es plus que cendres
Je n'ai plus les mots
Il ne fait pas très beau
Il est bien trop tôt
Pour aller en haut
J'entends bien souvent résonner l'écho
Des sabot de tes grands chevaux
Il martelle mon douloureux cerveau
Comme des coups de marteaux
Ta casquette , ton pull parfois me tiennent chaud
Pour moi c'est ton dernier cadeaux
Nos larmes sont devenus des ruisseaux
Et nos coeurs gonflés souffrent bien trop
Comme tu nous manques
Ca fait mal au ventre
Je n'ai plus les mots
Il ne fera plus jamais beau
domi
sans aspiration
que j'ai du mal à écrire!
sans cesse convulsion , crispation ,et soupirs!
un chemin difficile qui s'étire
loin d'un bel avenir
je voudrais tellement à nouveau sourire!
arrêter de me faire souffrir
ne plus ressasser ,ne plus revivre
inlassablement ce funeste vendredi
j'ai arrêter de croire
en ce dieu de bonté
qui n ' a rien su prévoir
et s'est contente d'assister
mon coeur ne sait plus écouter
mes amis mon mari et mes fils
qui n'ont de cesse de me répéter
qu'il faut continuer à vivre
ah ! que c'est facile! à dire !
mais qui saurai le faire?
fermer les yeux et de nouveau ressentir
le parfum d'une fleur et l'odeur de la terre
se contenter de fermer les yeux
oublier jusquà ma respiration
rien ressentir serait bien mieux
pour vivre a nouveau avec passion
domi
comme une fleur
tu viens de partir , toi aussi
sans rien dire ,vers l'infini
jolie fleur , aux pétales fanées
que plus personne ne regardait
sur cette tige semée d"épines
tu te dressais tellement chagrine
quelques feuilles en vain t'entouraient
mais finalement tu t'es fripées
petite rose fragile , douce et rose comme une pétale
à boire une eau polluée , te fut fatale
petit brin de fleur pale , si fragile ,
perdue dans ton jardin , la grande ville
de tes racines , se sont greffes deux pt'its boutons
avides de partir , t 'ont laisse en fanaison
tu les regardais grandir
pendant que toi tu finissais de mourir
mais rose si fragile fut t elle
maintenant s'est fait la belle
vole et embaume d'autres univers
tellement diffèrrent de la terre
pétales tombées au sol
sans bruit , toutes molles
recroquevillées
achevant leur vie, toutes flétries
a travers mon jardin fleuri
je saurai te reconnaître
ton parfum embaumera la vie
et chaque année te verra renaître
domi , pour toi ma chère Annick, ma douce cousine
plus cent
cent quatre vingt deux jours sans toi
cent quatre vingt deux jours de larmes
cent quatre vingt deux jours de questions
cent quatre vingt deux jours de pourquoi
cent quatre vingt deux jours de cauchemars
cent quatre vingt deux jours sans passion
cent quatre vingt deux jours de desarroi
cent quatre vingt deux jours qu on en créve
cent quatre vingt deux jours qu on se leve
cent quatre vingt deux jours sans reves
cent quatre vingt deux jours sans treve
cent quatre vingt deux jours s-achevent
cent quatre vingt deux jours qui se grevent
cent quatre vingt deux jours plus de seve
cent quatre vingt deux jours qu'on souffre
cent quatre vingt deux jours qu' on se dilue
cent quatre vingt deux jours dans le gouffre
cent quatre vingt deux jours qu 'on s'exclue
cent quatre vingt deux jours qu 'on ettouffe
cent quatre vingt deux jours que tu n'es plus
cent quatre vingt deux jours qu on devient fou
cent quatre vingt deux jours et de quoi !
cent quatre vingt deux jours a compter sur mes doigts
cent quatre vingt deux jours et ma croix
cent quatre vingt deux jours c pas notre choix
cent quatre vingt deux jours perdu la foi
cent quatre vingt deux jours et de quel droit
cent quatre vingt deux jours doivent être sans toi
de larmes en larmes
Elle apparut au coin de ma paupière
Doucement a formé une goutte
Pour lentement glissé à sa manière
Sur ma joue , se frayant une route
Au creux de mon cou s'est blotti
la deuxième curieusement la suivit
une troisième mollement s'aplatit
quand soudain tout un flot s'abattit
transformé en torrent tulmutueux
égaré , se déversant , impétueux
vagues ondulantes , sans retenues
courant sur mon visage abattu
c'est donc vous , petites larmes
roulant sur mes joues ,ravagées
vous devenues mes seules armes
efficace pour que je ne puisse renoncer
délivrez mon coeur angoissé
enfermé dans de terribles cauchemars
pour de nouveau pouvoir rêver
dans ce néant prendre un nouveau départ
coulez , coulez encore douces larmes
mouillez mon visage , mon oreiller
si vous pouviez seulement me délivrer
faire que mon chagrin rendent les armes
domi
juste un signe ! une lueur!
plus beau que tous les princes de maintenant
plus sublime que mes roses de printemps
plus grand que tous les présidents
plus fort et plus robuste qu un géant
plus sensible que les cordes d'un instrument
plus fragile qu'un vase en cristal
plus fougueux que ton beau cheval
plus sauvage que n'importe quel animal
plus insaisissable qu'une poignée de sable
plus désespéré qu'un voyou en cavale
mon fls , mon cher , mon pauvre enfant
qu'en est il de toi maintenant
sous ce carre de béton ou tu sembles absent
je m'y assoies chaque jours quelques instants
attendant je ne sais pas quoi vraiment .
ton père de désespoir se meurt
tes frères en secret cachent leurs pleurs
venant déposer timidement quelques fleurs
ils sont là ! ne comptant pas les heures
espérant que tu viennes libérer leur coeur
un signe pour nous consoler
ne pourrais tu nous faire
qu'on puisse au moins esperer
que tu ne sois pas que poussière
mon fils nous sommes si égarés
maman
il restera de toi : oxo
mon cher neveu
il nous restera de toi ce que tu nous as donné
il restera de toi , tous ceux que tu as aimé
ton sourire , ta gaieté
lorsque tu montais à cheval à cheval , tu étais beau comme un dieu
nous pleureront toujours ton absence
la vie en a décidé ainsi
pours toujours tu sera dans mon coeur, désormais le ciel et les étoiles t'appartiennent
brille ! brille ! mon cher neveu dans la galaxie
et lorsque nous regarderons le ciel, les étoiles nous parlerons de toi , dans l'infini de l'éternité
nous t'aimons , nous t'aimerons toujours
oû que tu sois , nos pensées iront vers toi
dommage sans hommage!
oû sont t ils tous ces gens ,
pour qui tu as tant donné
oû sont t ils tous ces gens?
qui croyaient tellement t'aimer
parlent t ils encore de toi?
entendent t ils encore ta voix?
t' ont t ils rendu hommage
à cette fête du moyen âge ?
qu ils étaient beaux sur leurs chevaux !
galopant ,crinieres frémissantes au vent
défilant dans les ruelles du chateâu
et jouant des rôles de marauds
mais de toi se sont t ils souvenus?
fascinant , attisant les passions
en chevalier ou prince sarrasin déchu !
caracolant , forcant l'admiration
toi t'es devenu prince des ténèbres
tu dois y être aussi célèbre !
là oû tu es il fait sombre
mais içi planera toujours ton ombre!
nous serons toujours là
nous tes parents éplorés
pauvres âmes souffrantes , égarées
pour te garder bien vivant et ne jamais t'oublier
domilaf
vers le soleil:
mon fils , mon enfant
tu pensais pouvoir partir comme ça ! tirer ta révérence et disparaître ! eh bien non!
c'était sans compter sur l'opinîatreté de tes parents , de tes grands parents , de tes frères , de tes filles , de ton épouse , de tes tantes et oncles , et bien évidemnet de ton fan club
d'amis que tu avais!
alors pour te faire un dernier clin d'oeil , même si cela t'aurai déplu ! nous nous sommes mobilisés , pour que tu puisses partir avec tout l' amour que nous te portons et te porterons à jamais.
la mer de ta belle Normandie , ce cotentin que tu aimais tant t'a rendue hommage , tu es parti là bas , dans la grande bleue , nager avec les dauphins , ils étaient nombreux à t'
accompagner
sur ce rocher oû tu avais l' habitude d'aller , oû tu pêchais les étrilles , un fer à cheval avait cru bon de s'ancrer là , maintenu par des patelles. Ainsi nous saurons te retrouver , à cet
endroit mystique , appelé , la chasse du pré .
Là ou tu as passé ton adolescence , et ta vie de jeune homme , fougueux , débordant de vitalité , pétillant de vie .
et c'est là que tes amis aimeront à venir , pour méditer , se recueillir et te raconter mille et une chose .
quand à nous , tes parents , tes frères , Yohann et Benjamin , ainsi que tes oncles et tantes , nous avons décidé de venir te mettre en terre , à Ste Foy des Vignes , maintenant notre terre
d'accueil , peut être égoistement .
tu reposeras içi et nous pourrons aussi nous recueillir , nous souvenir de tous ce que tu nous a laissé, sur ce chemin tellement court mais rempli de toi.
de ta loyauté , ta fidélité , ton courage à l'ouvrage , ton excellence en tout , ton carisme , et puis je dirais ton excentricité ! dois je dire que cela tu le tiens un peu ! beaucoup !de ta
maman!
je soulignerai aussi ta belle allure à cheval , cavalier extraordinaire et fier , et tu sais ! ta belle monture , Monelito a trouvé son nouveau maître , ton adorable fille! notre tendre
Louise.
tu vois mon fils ! tout continue , c'est ainsi , cruelle loi de la vie , qui nous commande de respirer , de sourire , d'aimer tout simplement .
tu ne saura jamais à quel point , t'avoir perdu nous désespère , nous torture nuit et jour et nous détruis ! mais quoique cela nous coûte , nous irons de l'avant avec tes frères , tes enfants
, ton épouse , et tous ceux qui t' aiment!
je pourrai continuer des heures à te parler , pour moi le temps c'est arrêté , un soir de Mai , quand tu es parti !
alors s'il n'est pas trop tard pour te parler , j'essaie de te dire tous ces mots attendus depuis des années , que j'avais perdu en chemin et je crois que j'ai retrouvé seulement pour
toi!
mon fils ! je t'aime !
il est tant de se dire aurevoir !
alors mon grand chéri , mon dan ! ohhh que tu n-aimais pas ton prénom , alors je te dirais simplement
salut Dan-Bruno ! vas oû le vent t'emportera , surfe les nuages , dans l'immensité du ciel ,vole comme un avion sans ailes! et de la haut fais nous un signe mon ange !
pensees de mes proches:
mon cher neveu , mon Dan
Mon coeur pleure encore une fois
et mes pensées volent vers toi
je ne suis pas douée comme ta mère
mais je t'accompagnerai
te voila arrivé dans ta dernière demeure
tes parents ne sécheront jamais leurs pleurs
voila dan , tu atteins ton dernier voyage
nous ne te verrons plus traverser les âges
tu pars retrouver les étoiles
et ta maman te peindra sur ses toiles
nous parlerons toujours de toi
lors de nos retrouvailles
maintenant il faut que tu t'en ailles
adieu mon cher neveu
vogues vers de nouveaux lieux
nous, nous te retrouverons aux cieux
tata jocelyne
dans les vagues
quand les bateaux quitteront dielette
dans leurs sillons voleront les mouettes
a leurs bords , ta famille tes amis
pour te suivre jusqu'a ton infini
moi , loin de ce dernier voyage
j'imaginerai ton visage, sur la plage
mais c'est la mer qui te prendra
elle te happera et t'emportera
attendant que souffle le vent normand
les vagues tu surfferas fierement
l'ecume ecrira ton seul prenom
avant de disparaitre vers l'horizon
tous seront la pour se souvenir
dans la nuit resonneront leurs rires
d'un meme coeur a l'unisson
ils fredonneront tes chansons
De ce grand moment de partage
j'essaierai de tourner la page
le temps ne pourra rien effacer
la souffrance brulant en moi reste ancree.
Elle ronge et lacere mes entrailles
le mal s'acharne et me tenaille
Quoique je fasse quoique je devienne
ta disparition sera aussi mienne
que tes cendres se dispersent !
Que la mer chaque jour te berce
que mes larmes enfin disparaissent
pour que les beaux jours renaissent
la vague tu surferas
elle te happera et t'emportera
juste une mèche de toi
elles sont entrées sur la pointe des pieds
se sont approchées de ton visage crispé
t'ont regardé le coeur tellement serré
dans le silence se sont penchées
t'ont déposés de nombreux baisers
de leurs yeux des larmes ont perlé
mais pour autant etaient bien décidées
à ne pas laisser s'échapper
ce moment attendu , privilégié
ou d'un geste précis mais angoissé
elle allaient tendrement te couper
une mèche de tes beaux cheveux bien coiffés
quelles ont rapidement et soigneusement cachés
dans le creux d'un petit papier déchiré
vite fait , d'un petit carnet secret
sur le seuil une dernière fois se sont retournées
t'ont regardé les yeux tellement embués
puis de nouveau sur la pointe des pieds
se sont doucement toutes deux retirées,
tenant leur trésor contre elles serré
elles sont venus trés vite me retrouver
tendrement elles m'ont entouré
pour prudement me murmurer
tite soeur voici pour te consoler
une mèche de cheveux de ton fils tant aimé
domi
le 1 er jour
il était une heure du matin
c'était un dimanche de juillet
quand il pointa son nez
et son petit crâne tout chatain
il a de suite crié d'instinct
sans même savoir ou il était
commencait déja à avoir faim
et réclamer furieusement la têtée
pas le temps de flemmarder !
aussitôt sorti de son bain
il a agité ses petits pieds
et sans plus attendre a pris mon sein
je le regardais hébétée
ses petits doigts serrant ma main
attendant qu'il ait terminé
pour lui prodiguer mes calins
ce n'etait pas le 14 juillet
mais pour moi ce jour fut enfrain
de bonheur encore jamais inegalé
mon dan à peine né , allait vers son terrible destin
je n'aurai jamais pensé
ques des jours arriveraient sans fin
et que je les passerai
à porter ma peau de chagrin
mal d'avoir mal aimé
pour toutes ses larmes rependus
je n'ai plus de retenue
peut être le temps venu
le desespoir un jour me tue
mais dis moi ce qui t'as pris
de vouloir ainsi en finir
pourquoi n'avoir rien dit
même pas a tes meilleurs amis
pour mourir ainsi de chagrin
ne pouvais tu attendre demain
j'aurai pu prendre ta main
et te guider dans le bon chemin
tu disais n'être qu une ombre
ainsi vint ce jour sombre
ou seul dans la pénombre
tu as cesse de répondre
dans un grand jour de détresse
comme un chien en bout de laisse
tu as tire sans faiblesse
jusqu 'a ce que tous cesse,
nulles pensées , pour les tien et nous
oh mon garçon si doux
triste a en devenir fou
pour en finir de tout
mon deuil ne puis le faire
et si c'était a refaire
je ne te laisserai pas faire
dussé je aller en enfer
merveilleux fils , noble coeur
tu n'as eu aucune peur
à mettre tant d'ardeur
pour mourir de douleur
contre le mistral soufflant
nous voici chancelant
a bout de force , agonisant
triste destinèe dont nous sommes les perdants
je refuse l'oubli !
et le jour et la nuit !
ton départ je le nie
je te veux bien en vie
je sanglotte , je pleure !
chaque jour , et j'en meurt
de cesse n'aura cette douleur
qui indéfiniment détruit mon coeur
fermer les yeux
monter aux cieux
y voir ton regard bleu
c'est la seule chose que je veux
attendre!
avoir tes cendres
te garder a tout jamais
et ne pas oublier
domi
tu etais mon cavalier prefere mon fils
tu etais et restera un prince a cheval
tu dominais du regard toutes tes montures
pas besoin de cravache
un claquement de langue seulement
et ta monture partait au galop
des regles tu n'avais cure
tu montais juste a l'arrache !
fier comme un pur sang
te voir chevaucher c 'etait si beau !
j'etais ta groupie ca c'est sur !
tu galopais avec tant de panache !
j'ai oublie de te dire , rmon fils
combien il etait difficile de vivre
j'ai oublie de te dire, mon fils
combien la vie fait souffrir
j'ai oublie de te dire , mon fils
que rien ne sert de courrir
j' ai oublie de te dire , mon fils
que tu pouvais rebondir
j'ai oublie de te dire , mon fils
combien j'aimais ton sourire
j'ai oublie de te dire ,mon fils
que tout arrive , même le pire
j'aurai surtout du te prevenir
qu'on doit pouvoir guerir
et de tout maux survivre
j'ai oublie , et ne peux plus te le dire
les nuits sont bien trop noires
les jours sont bien trop longs
ils passent lentement attendant le soir
mais le soir plus aucun son
alors monte l'angoisse ,plus rien a voir
avalons vite quelques cachetons
vivre encore il faut y croire
existe t il encore une raison
de s'endormir plein d'espoir
passera le temps et les saisons
ne plus aimer les miroirs
reflet de mon abandon
j 'aimerai tant y voir ,
celui de mon beau garcon
L'amour que l'on sème.
Aimer n'est pas une récompense,
Ce n'est pas non plus une chance,
Aimer se doit d'être une évidence,
Pas juste une simple romance.
Aimer demande bien du courage,
Lorsque l'amour devient naufrage,
Lorsqu'il nous faut tourner la page,
Cœur foudroyé par trop d'orages.
Aimer, ce n'est pas une quette,
Ce n'est ni victoire, ni défaite,
Ni violons, pianos et trompettes,
Pas un sentiment qu'on achète.
Aimer ce n'est pas s'abandonner,
C'est bien plus que tout partager,
C'est un voyage que l'on fait
Vers l'autre sans se retourner.
Aimer, faire le don de soi-même,
Récolter l'amour que l'on sème,
Ne jamais en faire un problème,
Faire de l'amour un emblème.
S'aimer, c'est marcher pas à pas,
Vers celui qui ferme ses bras,
Celui dont le cœur s'ouvrira
Lorsqu'aimé enfin, il sera.
Partir avant que les rides strient nos fronts,
Avant que ne viennent les grands frissons,
Avant que l'on ne perde tout à fait la raison,
Partir en jetant les clefs de notre maison,
Puisque que partir c'est mourir un peu,
Je veux partir tant que je suis heureux
poeme de Daniel Blondy
il resume en quelques lignes ce ressenti qui m'etreint depuis plusieurs semaines, D u desespoir de n'être rien pour ceux a qui on a donné sa vie, alors partir en jetant les cles , les souvenirs
douloureux , partir et perdre les traces de ce qui fut ,et s'acheminer vers un renouveau avant que le temps de la vieillesse et l'impuissance me rattrape
respirer sans en avoir l'air,
puisqu'il n"y a plus rien à faire
supporter ce tyuau sur le nez
essayer de ne pas l'arracher
veritable casse tête ,toute la nuit
le casque sur les oreilles ! ca gratte!
et vas y tombe la pluie!
manque plus que la chatte
qui sur mes pieds prend ses aises
mais fini peut etre les ronflements
en attendant tous ca me pese!
c pas du tout mirobolant!
bien sur ca n'arrive pas qu'a moi!
suis pas la premiere ni la derniere
faudrait peut etre perdre du poids ?
bah laissons ca derriere
a quoi bon ruminer !
si c'est pour aller mieux!
je vais peut etre ecouter
ce que me disent mes petits vieux
patience!!!!!!!
poème de Domilaf : lundi 20 janvier 2014
Complainte et prière d'une mére
Quand le temps qui passe , éfface ses chagrins
Quand son coeur en colère , se résigne
Que les souffrances de son âme s'épuisent
Et la rancoeur s'éssoufle et prend fin
La mère se réveille , pleine d'un grand vide
Son impuissance devant tant de bêtise
De ce sentiment de frénétique jalousie
Qui ronge et détruit son fils
Fils chéri durant toute une vie
Dans son désert de solitude , elle prie
De temps en temps seigneur! t'arrive t il
De regarder tes pauvres brebis
Egarées , dans le tourbillon de la vie ?
Fasse que pour son fils adoré et révolté
Aujourdh'ui , commencent mille regrets
Et de ces jours à venir, il puisse enfin honorer
Sa pauvre mére , éplorée
conte dedie a une petite fille trop triste
l'oiseau tombe du nid
un petit oiseau tombé du nid , piaillait, maman maman! je suis perdu! comment faire pour retrouver mon nid! tout est fini pour moi ! mais alors que son avenir etait sombre que plus une petite lumière ne brillait dans son univers ! qu'il croyait avoir tout perdu ! que s'en était fini de la vie , un ange apparu , et le rassura , ""petit oiseau ne crie pas si fort ! crois tu être le seul à te retrouver perdu , ce n'est pas en te morfondant sur ton sort que tu t'en sortiras! sais tu que tout est possible pour celui qui croit en lui? allons laisse un peu de côté tes lamentations ! et regarde un peu ce que tu peux faire pour t'en sortir!!!!!le petit oiseau tout éberlué sécha ses grosses larmes !tiens quelqu'un avait entendu son cri ! bien gentille cette bonne fée !mais comment faire ! je suis si triste si seul ,si malheureux! allons petit oiseau ! j'entends tous ce que tu penses !dit la bonne fee! regarde donc autour de toi regarde en toi , regarde cette force qui te guide et que tu ignores ! ton avenir est loin d'être sombre , sais tu ce que c'est que positiver? bin non repondis l'oiseau ! que puis je faire je suis si petit! si seul ! seul le voila bien ! as tu tant besoin des autres pour puiser en toi toute la belle energie qui s'y cache?certes je conçois que parfois avoir recours aux autres est bien pratique mais c'est trop facile!!!! alors ne compte que sur toi même ! allez courage ! redresse la tête, cherche ton chemin et arrête de pleurnicher! le petit oiseau tout penaud se dit que sa bonne fée était un peu dure! elle le laissait là ! mais quand même ,elle avait raison!!!! voila ! je sais !toutes ces petites branches de notre bel arbre ! elles partent du bas du tronc ! il me suffit de les regrimper une a une! ainsi sans même l'aide de qui que ce soit l'oiseau retrouva le doux nid de sa maman !il avait cru mourrir ! et en regardant un tantinet autour de lui avait trouver les solutions, tout seul ,comme un grand, ah comme il était fier! il avait compris que lui seul pouvait venir a bout de ses problèmes et qu'en relevant juste un peu la tête son avenir redevenait trés beau! au diable ses états d'âme , il lui restait encore bien d'autres choses à découvrir! et personne ne lui donnerai la réponse à toutes ces questions auquelles lui seul pouvait répon dre ! heureux et fort de cette découverte , il s'endormit dans son petit nid ,blotti sous les plumes de sa maman!cette épreuve lui avait appris bien des choses , puiser au fond de lui toute la force nécessaire pour résoudre tous ses petits soucis. ses appels au secours ,son coeur les entendait et c'est ce coeur qui pouvait l'aider!__________
j'ai appris !
parfois la vie te donne une 2eme chance
j'ai appris!
quand on decide avec son coeur
c'est generalement une bonne decision
j'ai appris!
quand tu souffres ne le fais pas subir aux autres (pas simple!)
j'ai appris!
tes parents te manquent le jour ou ils ne font plus partie de ta vie
j'ai appris!
les enfants oublient ce que tu fais pour eux
mais jamais tes paroles un peu exagerees
j'ai appris !
qu'une amitie n'est jamais acquise
ma douce pascale
si j'écris ce texte ce soir c'est parce que mon coeur n'en peut plus d'avoir mal ! tu viens de m'appeler et sur l'air le plus naturel du monde tu m'annonces ton cancer du sein , avancé semblerait t il , que tu te fais opérer le 5 octobre et ensuite chimio! comme j'ai eu mal quand tu m'as dit je vais perdre mes cheveux ! tu semblais tellement desesperee de ça ! comment pourrai je te reconforter ? te dire que je vis depuis 20 ans sans cheveux ! la n'est pas le probleme , la chimio entraine tellement d'autres effets bien plus indesirables , tes beaux cheveux repousseront encore plus fort et pour ça , il faut que tu le veuilles , je ne veux pas que tu baisses les bras , tu vas devoir continuer cette lutte que tu menes depuis 2 ans , toi qui est restee au coté de ton papa jusqu"au bout ,4 mois seulement qu'il est parti , te laissant desesperee , ton deuil encore trop recent il te faut affronter a nouveau la maladie , la tienne et je me doute oh! combien ce nouveau defi va etre coriace ! mais je serai a tes cotés , comme tu l'as toujours ete pour moi quand notre yoyo se battait pour vivre et bien toi aussi , tu vas devoir te battre comme lui! et je t'ordonne d'etre la plus forte ! je ne me resoudrais pas a te voir baisser les bras, je suis la , nous sommes ! tous ceux a qui tu as prodigue tant d"amour ! sans jamais montrer combien des fois c'etait trop! j'arrive je serai pres de toi avant l'operation et apres , je t'aime , le mot est si faible , je t'aime
ta domi, ta fidéle
-
#1
c'est une très belle preuve d'amitié !!
je souhaite à ton amie de s'en sortir avec ton aide et elle doit garder le moral c'est important ; gros bisous -
#2
oui on doit se battre !!la vie continue!!
mais défois il y en as de trops!! pour une famille !! toi! moi! et tout les autres! nous avons eu nos moments dur à suportées !! bisous lili
Le petit roi du lac
Dans la douceur d’ une soirée d’été ,
Sur les berges du lac , nous étions rassemblés
Le soleil nonchalant s étirait derrière les arbres
Tandis que le crépuscule nous enveloppait mollement , prenant le pas
Dans une profonde douleur, la mère , le père , la femme , l’enfant , les amis
Pleuraient l’être aimé trop vite parti .
Quelques lampions scintillaient sur la rive
Leurs lumières jaunâtres ondoyaient sur les eaux tranquilles.
Petit a petit imprègnes de cette sérénité ,
Qui régnait et nous subjuguait .
L’un des chasseurs poussa lentement la petite barque
Serrant l’amphore contre son sein
Héléna prit place enfin .
A petits coups de rame
L’homme les dirigea vers le milieu du lac !
Chacun retenait son souffle
Seul le clapotis de l’eau rompait le silence !
La barque s’immobilisa .
A genou , telle une nymphe , accomplissant un rituel ,
Héléna ouvrit le vase , tendant les bras au dessus des eaux paisibles.
L’embarcation décrivit de grands cercles,
Et lentement , très lentement
Dans un sublime geste d’amour,
Transportée au de la du réel ,
Héléna déversa les cendres de son bien aimé .
De l’autre main , ele fit glisser des roses si belles!
Ce moment sembla durer l’éternité !
Des milliers d’étoiles se répandaient sur le lac!
L’âme de Thierry prenait possession du lieu .
Elle régnerait sur les eaux et ses occupants à jamais.
Dans la nuit qui maintenant sétendait a l’infini
Montait de la berge un long sanglot
Les gorges se nouèrent , les larmes coulèrent !
Les grenouilles , soudainement , entamèrent un concert
Les canards dérangés émirent quelques cancans!
Les habitants du marais accueillaient le petit roi
Une belle âme les protégerait a tout jamais.
La barque revenait , Héléna en descendit .
Elle s’approcha de son petit et l’enveloppa de son bras.
Immobiles , tous deux contemplaient les eaux du lac .
A cet instant précis , je croisais mes doigts, fermer les yeux
L’esprit de Thierry me pénétra .
Sil e chagrin m’avait serré le cœur
Une immense joie le remplaçait , et plus de peur !
La certitude que désormais , Thierry appartenait au marais .
Il vivrait au de la de la mort
dominique
-
#1
Merci Domi, c'est magnifique!
à bientôt -
#2
Coucou soeurette, je suis très émue à la lecture de ton poème, tout cela devait être bien triste, mais je pense que Héléna a le coeur en paix, puisqu'elle a acquiescé aux dernières volontés de Thierry. Liliane aussi. Il faut qu'elle se batte maintenant.
Je te fais gros bisousxxx soeurette, ti amo. Mimi
C'était ton anniversaire mon papa , pour tes 80 ans je t'avais écrit ce poème
Mon petit pere bien aime!
C'est aujourdh'ui ton anniversaire!
Claudine a su nous reunir
Pour te souhaiter nos voeux les
plus sinceres
Et te dire dans un sourire
Que tu es le meilleur des peres!
T' es ne dans notre normandie
A sommervieu, village tranquille
Avant que d'atterrir à Banville
Petit bourg ou tu as grandi!
De tes parents cheris , tu as
appris
Rigueur ,labeur, tout sur la vie
Avant que de t'envoler vers
l'afrique
Ce coin de paradis bien sympathique
Ta dulcinee , t'as rencontré
Mais ce n'etait pas ta bonne fee!
Seulement une femme qui t'a donné
Trois petites filles que t'as adoré
Passées quelques années tres
mouvementees
Vous avez du vous séparer
Les dés en etaient jetés
L'amour pour vous etait passé
France! jolie france ! t'as
receuilli!
Pour seul bagages trois jolies
filles
Mireille , dominique et jocelyne
Chemin faisant , t'as rencontré
Celle qui ne te quittera jamais!!
Accompagnee dans la foulee
De deux petits marmots tout faits!
Martine , laurent les derniers nes
Qu'avec amour t'as éduqué!
D'une famille recomposée
Ensuite est né pleins de bébés
Garcons et filles mélangés
Qui pour aujourdh'ui te souhaiter
le plus beau jour qui te fut
donné
Sont tous venus te retrouver
Pour seul plaisir , tu t'es donné
Un beau bateau nomme voilier!
Qui pour de longues annees
Ta vie l'a ensoleillé!
Aujourdh'ui la boucle est bouclé
Puisque tu vis bien entouré
De celle qui t'a tout donné
Et qu'au seuil de tes 80 étés
Un petit! petit! Jeanne est né!!!!
tous les baisers que l'on m'a donné!
je les ai gardé!
dans une petite boite bien caché!
tout au fond du grenier!
cette petite boite je l'ouvrirai!
surement un jour d'eté!
et je semerai pres d'un champ de blé!
tous ce que l'on m'a donné!
Aux chiens enrages
L’amour des autres peut t il sauver?
Que mon cœur en soit tout bouleversé !
De voir les chiens se dévorer
Pour quelques mots donnes en patees
Aboyez ! Hurlez! Vous ne faites que passer
Par vos chimères vous étés subjugues
Vos cerveaux en sont tout éclabousses
De ces vilains mots n’auraient que des regrets!
Dans l’ombre seulement , je peux m’indigner
Et quoique du bien je sois impregnee
Je fremis ,car mon ame harcelee
dans mon esprit surgit de mauvaises pensees
L’homme est donc bien pervers
Le mal parle a nos cœurs effares
Mon esprit dans un farouche eclair
Parle a ce cœur, pour pouvoir l’apaiser
coeur désséché ! ame en éxil
le paradis existe t' il?
trêve d'utopie, cruauté et rancoeur
tour a tour endeuillent et saignent nos coeurs
quand le bonheur envahit
qu'il a suffit d'un rien
la presence de mes petites cheries
de mes jours tristes et sans fin
elles ont ouvert un chemin
parseme des senteurs de la vie
oh! que d'amour elle m'ont fleuris
gorgee de tout cet amour
il ne m'a pas fallu un jour
sur la toile les pinceaux ont danse
au galop j'ai ete transporte
et dans l'enchantement du moment
j'ai peint cet etalon dominant
Petite océane
Un vent de panique a soulfle cette semaine
Pour feter ton arrivee , océane ! Ma petite reine
Grand mere domi s’est donnee bien de la peine
Patatras vite fait dans l’escalier
Elle reussit a se casser le poignet
Tandis que tu te mettais a crier
Ma jolie petite fee
Mamy domi , elle , enragee!
De ce beau jour ou tu es nee
Elle ne put que te regarder
Mais ma princesse c’est jure
Dans mes bras bientôt je te tiendrais
En attendant ce jour tant espère
Mamy domi te couvrira de baisers
Océane! Océane! Sens tu le bonheur qui plane?
Grands peres et grands meres se pament!
Papa et maman restent relaxes
Devant tes sourires que tous glanent
Sonnaient trompettes , carillonnaient clochettes
Annoncez que notre océane est nee
Qu’elle sera toujours notre 14 juillet
Notre feu d’artifice tant désire a éclate!
Oh oui!c’est notre jour de fete
Ma sœur mimi
Par un beau matin de mai
Alors que le soleil paraissait
Que les sages femmes s’affairaient
Une jolie petite fille est nee
&&&&&&&
Sa maman l’aurait appelee stella
Son parrain ne le voulut pas
Mais une etoile tu resteras
Ah ma petite mimi t’es extra
&&&&&&&e
Suis pas experte sur un ordinateur
Mais les mots ça je maîtrise
Aussi je te dis petite sœur
Qu’aujourdhui je te fais pleins de bises
&&&&&&&&&
Joyeux anniversaire ma poyette
Evidement que c’est ta fete!
Du fond du cœur !oh mais je me repete
Mais encore joyeux anniversaire soeurette
Écrire commentaire